La douce basse-cour

Le fait que mes journées sont très remplies et que  nos deux compagnes quadrupèdes me prennent beaucoup de temps, ne me fait pas oublier nos poules et nos deux canards pour autant.
Pendant une semaine,  lors du pic de travail dû à la préparation de l’ouverture du site des éditions, c’est mon Capitaine qui a pris le relais et qui a été beaucoup plus présent que moi auprès de nos protégés.
Ce cap passé, je suis retournée plus régulièrement les voir et m’en occuper.
Avec les poules, la relation, si elle n’est pas quotidienne, n’est jamais gagnée.
Elles oublient très vite…
Il a donc fallu que je reprenne le cours de nos échanges en les réhabituant tranquillement.
Notre couple de canards, lui, reste très farouche.
Mais nous sommes toujours accueillis par de tonitruants « coin-coin » dès notre arrivée.
L’ambiance au poulailler est beaucoup plus paisible qu’elle ne l’a été ces derniers mois.
Mais une ombre plane…
Le spectre de la grippe aviaire rôde.
Il ne me semble pas que nous soyons sur la route des oiseaux migrateurs, mais j’ai une inquiétude…

MP 

 

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