Chaque matin, je me connecte en ligne pour suivre une formation, juste pour le plaisir d’approfondir un sujet qui me passionne.
Je connais le formateur pour avoir déjà suivi un autre cours en ligne qu’il proposait il y a deux ans sur un programme informatique, et j’attendais donc notamment de cette expérience des ouvertures pratiques tenant compte de l’évolution informatique et des nouveaux programmes créés pour gérer les banques de données essentielles à toute recherche de documentation.
Mais un double hic s’est rapidement présenté.
Le premier concernait le formateur lui-même.
Retard dans le lancement du cours puis dans la diffusion des sessions, arrêt de plusieurs jours annoncé comme dû à la chaleur… les épisodes chaotiques se sont multipliés.
Parallèlement, il a au moins fallu trois semaines pour que les cours deviennent vraiment intéressants.
Les premières données s’adressaient à un public qui faisait ses premiers pas dans le domaine traité, ce qui n’était pas mon cas, ni, je pense, celui de la plupart des inscrits.
Tout cela était un peu poussif, à l’inverse de la formation précédente.
Et puis, soudain… les choses sérieuses ont commencé.
Dès que nous sommes entrés dans l’univers des nouveaux outils informatiques, j’ai retrouvé le goût de la découverte… et l’amour du détail de cette personne qui nous entraîne dans son sillage.
La suite se déroule au rythme des montagnes russes: parfois très intéressant, parfois moins…. mais un nouveau couperet est tombé en fin de semaine lorsque, à la fin de l’épisode, dans une courte vidéo, notre intervenant nous a appris qu’il partait en vacances « avant qu’il ne s’écroule ».
Voilà, voilà.
Je lui souhaite donc de bonnes vacances… mais moi qui avais prévu de passer la majeure partie de l’été à compléter mes connaissances, je me retrouve frustrée.
Qu’à cela ne tienne: je vais avoir recours au plan B!