Je le dis souvent: en aménageant en France, j’ignorais si la rédaction du magazine pour lequel je travaille depuis pas mal d’années maintenant allait continuer à me confier des articles.
Ça a été le cas… et c’est une chance formidable.
Je travaille différemment, mais j’ai toujours le même bonheur à pratiquer mon métier, à découvrir des personnes elles aussi passionnées par ce qu’elles font et souvent très attachantes.
Tous les articles qui me sont commandés ne sont pas forcément publiés le même mois, dans le même numéro.
Certains sont commandés à l’avance.
Ce qui n’empêche que le rythme est soutenu… même très soutenu, comme c’est le cas depuis quelques mois.
Dès que le point final a été posé au dernier article du mois et que je sais pouvoir profiter d’une ou deux semaines de battement avant le ou les prochains, je rouvre mes dossiers « livres », et je me remets à l’écriture de mes bouquins.
C’est une autre manière d’envisager l’écriture, plus libre.
Joyeusement libre…
Depuis quelques jours, je consacre tout mon temps à mes articles, et cela devrait encore durer toute cette semaine.
Plus j’avance, plus je réalise que l’écriture est la sève de mes jours.
Et cette phrase anodine est le départ d’une réflexion beaucoup plus vaste qui mûrit en moi.
Mais là… c’est une autre histoire!
Nouvelle semaine…
par
