En une nuit, le jardin a changé de visage…
Les roses commençaient à poindre leur nez, et là, en quelques heures, la zone qui longe le poulailler, celle qui fleurit toujours la première, a renoué avec l’effervescence des premiers grands jours…
Ce n’est qu’une toute petite partie de la roseraie, mais elle j’ai presque les larmes aux yeux lorsque j’assiste à son retour annuel.
Je sais, par les messages que vous m’envoyez, que je ne suis de loin pas la seule à être sensible à la beauté des fleurs…
Je continue donc à partager avec vous cette période de l’année incroyablement généreuse.