Vous l’avez compris, si j’ai eu la main légère sur les textes d’Ecriplume ces derniers jours, c’est parce qu’un week-end familial avec mon fils et mon petit-fils était programmé, doublé d’une visite de nos cousins qui se sont joints à nous dans la journée de samedi.
Sachant qu’une partie de pêche, la première pour Aurélien, était prévue pour ce dimanche, lui et moi nous sommes accordé l’après-midi du samedi pour nous adonner à d’autres occupations nettement moins physiques.
Quoi que.
Il a repris sa console en me demandant si j’étais d’accord de jouer avec lui à Mario Kart, course de voiture dont les niveaux les moins difficiles sont adaptés à mes capacités, assez limitées, en la matière.
Bien entendu, il m’a joyeusement ratatinée dès la première partie.
Et plus il gagnait, plus il devenait rigolo, se lançant dans des exercices d’auto-congratulation qui m’amusaient beaucoup, commentant la course à la manière d’un speaker de courses de caisses à savon et éclatant de rire lorsqu’il me dépassait, sur le poteau, pour passer la ligne d’arrivée en trombe et et tête.
Nous nous serions cru dans un dessin animé…
Dans l’après-midi, je lui ai déclaré qu’il fallait absolument qu’il apprenne à jouer à au moins un jeu de cartes pour compléter sa culture des jeux.
Il a accepté avec intérêt, et je lui ai expliqué les règles du « Rami ».
Nous nous sommes lancés dans une première partie dont il s’est plutôt bien sorti, nous promettant de rejouer à sa prochaine visite et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il soit devenu un as de la discipline.
Comme il est parti, je pense que le moment est proche où il me mettra la pâtée…
Week-end famille
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