Dans la semaine, mon Capitaine a enregistré un film que nous n’avions vu ni l’un ni l’autre, et que nous avons regardé ensemble, en mode cocooning: Le Jour d’après, de Roland Emmerich.
Ce film catastrophe date de 2004, et nous propulse dans un scénario imaginant que de terrifiants dérèglements climatiques viennent secouer gravement la planète (tornades, pluies d’énormes glaçons, tsunamis, inondations, et j’en passe…) pour se terminer par une vertigineuse chute des températures transformant une bonne partie de la Terre en banquise.
Même si le film est parsemé de quelques incohérences, il atteint son but et n’est franchement pas rassurant.
Voir New-York inondée puis figée dans la glace et la neige est même plutôt angoissant.
En revanche, découvrir que le Mexique est contraint de fermer ses frontières, envahi par les Américains réfugiés climatiques est un clin d’oeil ironique qui m’a fait sourire…
Nous sommes très conscients des souffrances de notre planète, et nous faisons partie de ceux qui, à leur échelle, font tout ce qu’ils peuvent pour la respecter.
Ce film ne nous a pas traumatisés pour autant.
En revanche… en jetant un coup d’oeil dehors après l’avoir visionné, nous nous attendions presque à nous retrouver cernés par des murs de neige!
