J’aime bien l’humour de mon Capitaine.
Deux exemples m’ont beaucoup amusée, ces derniers jours.
Mardi matin.
Tandis que je suis dans mon bureau, concentrée sur un article à terminer, il part au marché.
Un peu plus tard, mon téléphone sonne… et j’entends la voix de mon Capitaine, tout joyeux, qui me fait cadeau de quelques mots doux en passant.
Et qui rajoute:
– J’avais juste envie de t’appeler depuis le téléphone de la voiture, c’est super pratique!
Vive le bluethooth!
Mardi toujours, bien plus tard dans la journée.
Il sait que je suis très fan du travail de François Busnel dans « La p’tite librairie » dont j’ai déjà parlé ici.
Alors que je tombais par hasard sur son émission, j’ai écouté religieusement avant de reprendre la conversation:
– Il fait vraiment un travail remarquable… J’aime beaucoup.
– M’oui, je vois. Mais là, il parle d’un livre que tout le monde connaît.
– Reconnais quand même qu’il a tout pour lui, ce monsieur. Il parle magnifiquement des livres qu’il présente.
Et pour ne pas le désobliger, je rajoute:
– Bon, il est juste un tout petit peu moins beau que toi. Mais à peine.
Aussitôt, la lueur malicieuse qui squatte son regard dans ces cas-là s’est rallumée:
– C’est vrai. Mais que veux-tu… on ne peut pas lui demander l’impossible, non plus.
