Depuis que je rencontre un certain succès sur la plateforme Vinted (cette plateforme de revente de vêtements et d’objets de seconde main), mon Capitaine a une inquiétude nouvelle: finir lui aussi en vente.
Tout a commencé autour d’un petit-déjeuner où, en lui expliquant les joies de cette application, je lui racontais que les femmes ont parfois tendance à acheter des vêtements qu’elles portent une ou deux fois avant de s’en lasser.
Vinted est donc une excellente solution pour débarrasser les placards de ce qui ne nous plaît plus.
C’est là qu’il a eu chaud, m’a-t-il dit.
Amusée, je lui ai dit que ce n’était pas une si mauvaise idée : je suis convaincue qu’il ferait un tabac!
Son imagination s’est emballée, et il m’a proposé sa propre petite annonce fictive :
“À vendre : grand bonhomme d’1m90 (mais paraît plus), charmant, attentionné, lavable à 30°C. A déjà beaucoup servi, mais état quasiment neuf, sans étiquettes. Résistant – très résistant même. Ne craint qu’une chose: le voyage en carton.”
Nous avons éclaté de rire, et j’ai précisé que la seule chose qui pourrait me vexer dans cette histoire serait qu’un acheteur potentiel ose me demander de baisser le prix… que nous n’avons pas encore fixé, d’ailleurs!
Rassurez-vous, il ne risque pas de se retrouver en vente: j’aurais bien trop peur qu’on ne l’achète.
Il fait partie de ces trésors que je garde précieusement, même après des années d’utilisation.
Et puis, entre nous, je serais bien incapable de trouver un carton assez grand…