Mission coupe-coupe!

Le retour des premiers rayons de soleil me renvoie dans le jardin pour LE moment que j’attends à chaque veille de printemps: la taille de mes rosiers.
Depuis deux ans, cette taille de printemps est plus simple à réaliser car j’en effectue une autre à l’automne, juste avant que l’hiver ne mette les végétaux en veille.
Donc, même s’ils grandissent quand même un peu durant cette période, mes protégés sont plus abordables au printemps…
Armée de deux sécateurs, un grand et un petit, et de deux brouettes, j’ai donc passé une première matinée (ou plutôt un premier bout de matinée, restons modeste…) dans la roseraie.
Même si je prépare le printemps à l’automne, il reste beaucoup de travail…
Certains rosiers ont « fait du bois », certaines parties des plantes se transformant en bois et laissant la place aux jeunes pousses.
D’autres ont profité des quelques moments de soleil pour pousser n’importe comment, en broussailles, d’autres encore ont entrecroisé les branches, ce qui est la meilleure façon de faire le lit d’éventuelles maladies.
Je passe de l’un à l’autre, et je les taille selon leurs besoins… sous l’œil du camélia qui rosit de plus en plus…
J’ai toujours un petit moment d’anxiété lorsque je me mets à cette tâche.
De ce que je fais en ce moment va dépendre la beauté de la floraison, dans quelques semaines…
J’ai aussi à faire face à une très mauvaise surprise, cette année.
Je ne sais pas ce qui a pu se passer cet hiver, mais tous les supports et bois et en bambou qui maintenaient les étiquettes portant les noms de chaque rosier sont détruits, sans doute par les intempéries, et toutes les indications sont au sol, mélangées.
Il va falloir que je trouve une solution, cette fois pérenne…
Si vous avez une idée, n’hésitez pas à la partager!

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