Voilà plus d’une semaine que je ne sors pas la tête de l’eau.
Et quand je dis “pas la tête de l’eau”, je devrais plutôt dire “pas la tête de l’article”.
Me voilà replongée dans les grandes heures, à l’époque où mon métier à plein temps me tenait en haleine du matin au soir.
Là, c’est reparti, comme si le temps se penchait sur moi en me murmurant : « « « Alors, ça te manque un peu, l’adrénaline ? »
Je me suis retrouvée embarquée dans un article aussi passionnant que complexe.
Le genre de sujet qui vous réveille la nuit.
Un petit retour en arrière qui ne me déplaît pas: il paraît que le stress, en petite dose, garde l’esprit vif.
Vu le pic atteint, je vais finir aussi vive qu’une pile électrique…
Bref, me voilà revenue, le temps d’un article plus complexe que d’habitude au cours duquel j’ai eu à interviewer quatre personnes en même temps et deux autres individuellement, dans cette ambiance intense que je ne risque pas d’oublier.
Normalement, je devrais avoir fini en cette fin de semaine…
Donc, si vous me cherchez… je suis là, quelque part, sous une pile de notes.