Je me suis amusée à chercher si, par le passé, le monde avait subit des phénomènes météo bizarre.
Il y en a eu, oui…
Je passe sur le 19 mai 1780 où, en Nouvelle-Angleterre, le jour s’est levé vers midi, et le ciel est devenu tellement sombre qu’il n’était plus possible de travailler.
Le phénomène a été observé sur une région précise.
Il ne s’agissait donc pas d’une éclipse.
Lorsque le ciel s’est éclairci, le lendemain, les seules explications avancées ont été que cette particularité devait être due à la fumée et aux cendres issue d’un incendie « quelque par à l’ouest »…
Le 28 janvier 1887, des flocons géants, d’une quarantaine de centimètres de diamètre et 20 d’épaisseur, « plus grands que des assiettes », sont tombés sur une ferme du Montana, aux Etats-Unis.
Un facteur, pris dans la tempête a pu vérifier l’information, ahurissante…
Dans le Dakota du Nord, à Grandville, le 21 février 1918, la température monta de plus de 46 degrés Celsius en douze heures.
Au lever du jour, les habitants se sont réveillés à -36,3 degrés.
En fin d’après-midi, il faisait 10 degrés…
Mais ce n’est pas la fluctuation de température la plus étonnante.
La plus brutale a été enregistrée le 22 janvier 1943 dans le Dakota du Sud, à Spearfish.
A 7h30, le thermomètre indiquait -20 degrés Celsius.
Deux minutes plus tard, la température avait grimpé de 27 degrés.
A neuf heures, le thermomètre marquait plus de 12 degrés.
Puis, en 27 minutes, la température est retombée brutalement à -20 à 9h27.
Des phénomènes particuliers de ce genre, il y en a des dizaines enregistrés.
Souvent inexplicables.
Martine Bernier