Samedi matin.
Je commence ma journée avec, en vrac, une migraine matinale à laquelle je tords le cou en une petite demi-heure, la perspective d’une interview dans la journée et, donc, ensuite, le projet d’écrire dans la foulée l’article qui en découlera.
Mais avant, j’ouvre mon ordinateur pour consulter les grands titres du jour.
Et là… j’apprends qu’en Iran, le peuple a parlé à travers les urnes, et s’est choisi comme nouveau président le candidat réformateur appelé Massoud Pezeshkian.
Un nom que je vais m’appliquer à retenir…
En lisant l’article que lui consacre le site France Info, je découvre ses premières paroles en tant que président:
« Nous tendrons la main de l’amitié à tout le monde », a promis le nouveau président, samedi, après avoir appelé au rétablissement de « relations constructives » avec l’Occident durant sa campagne.
Ces paroles sont porteuses d’espoir, même si chacun sait que, en Iran, les pouvoirs du présidents sont limités, et que règnent en maîtres les ayatollahs… pour le moment.