Peut-être faites-vous partie vous aussi de celles et ceux qui souhaitent mettre dans leurs plantations des petits panneaux ou étiquettes indiquant les noms de chaque plante.
C’est ce que je fais avec mes rosiers.
Mais j’ai très vite été confrontée au problème que nous rencontrons à peu près tous dans ce cas: quel support choisir?
J’ai tout essayé: ceux en plastique (jaunes et très laids) dans lesquels vous glissez un morceau de papier ou de carton sur lequel vous avez soigneusement écrit le nom en question.
A la première averse, même si votre étiquette a été plastifiée, elle gondole et n’est plus présentable.
Je suis passée à quelques supports en métal adoptant le même principe… et rencontrant le même problème dès que le temps devient humide.
Je suis ensuite arrivée aux supports en bois fin surmontés d’une mini ardoise sur lesquelles vous écrivez au feutre indélébile.
C’est ce que j’ai préféré.
Seul souci: ils ne résistent pas non plus aux intempéries, se cassant au bout de quelque temps.
Je me suis donc rabattue sur des étiquettes blanches courtes sur pattes, sans beaucoup d’espoir.
Et c’est après en avoir équipé chacun de mes rosiers que j’ai découvert sur internet une idée nettement plus adaptée.
Il s’agissait de prendre un morceau de branche, d’ôter un copeau de bois sur le côté pour pouvoir y inscrire le nom en question, et de le planter près de la plante.
J’ai montré l’idée à mon Capitaine.
Un peu plus tard, il revenait avec deux propositions: l’une était exactement conforme à ce que je lui avais expliqué, et l’autre était un morceau de branche taillé pointu d’un côté et fendu sur sa largeur à l’autre bout.
Dans l’encoche, il avait glissé l’étiquette que j’avais réalisée auparavant.
Le résultat est complètement adapté à mes attentes!
Discret et pratique.
Arès avoir été vérifier au matin si les étiquettes avaient supporté les pluies, d’hier, le résultat est probant: pas une n’a souffert.
Et si cela devait changer au fil du temps… elles ne seraient pas compliquées à remplacer.
Au fil du temps, nous avons amélioré le procédé en fixant les étiquettes à l’aide d’un « bracelet » en plastique qui, en resserrant l’entaille faite dans le bois, empêche l’étiquette de tomber.
Avec l’aide de mon fils et de mon petit-fils, le jardin a été équipé en moins d’une heure!
Ecriplume