Harlow carr, si résistant…

La grande majorité des végétaux souffre de la sécheresse…
La roseraie ne fait pas exception.
En règle générale, les rosiers qui s’y trouvent supportent bien la chaleur et le manque de pluie sans que j’aie à les arroser, mais, cette fois, l’épisode de canicule que nous traversons occasionne des dégâts.
Beaucoup d’entre eux présentent des branches sèches, les feuillages jaunissent, et, bien sûr, la quasi-totalité des remontants ne fleurit pas ou très peu.
Il faut donc intervenir, en tenant compte des restrictions d’eau.
Pour ce faire, je puise l’eau nécessaire dans les cuves d’eau de pluie que mon Capitaine a installée, et je n’arrose que ponctuellement et à tour de rôle, ceux qui ont manifestement besoin de cet appoint.
Un seul jusqu’ici, n’a pu être sauvé.
Ce dimanche matin, alors que je terminais mes soins avant que le soleil ne s’installe, mon regard a été attiré par une série de taches de couleur rose, au bout de l’un des parterres.
Je suis allée voir de plus près, et j’ai découvert que l’un des rosiers que m’a offerts mon fils continuait à fleurir joyeusement, comme s’il se moquait de cette météo censée le fragiliser.

Ecriplume

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