Décembre commence… nous allons bien tôt entrer dans l’hiver.
Mes roses me manquent, et je pense souvent au fleurs que je retrouverai ce printemps.
Il y a quelques mois, j’avais consacré un article à l’arbre qui ne sera jamais planté dans le jardin en raison de l’aversion que je lui voue.
Le pauvre…
Dans le même ordre d’idée, quelqu’un m’a demandé s’il y a une fleur que je n’aime pas.
J’avoue… il existe bien une plante qui ne suscite aucune émotion chez moi et que je n’aurai sans doute plus ni dans le jardin, ni dans la maison: le bégonia.
Lorsque je regarde la photo, je ne nie pas qu’elle est plutôt jolie, et je sais aussi qu’elle est plutôt facile à vivre.
Mais c’est ainsi: elle n’est pas faite pour moi, expérience faite.
Enfin… c’est ce que je dis aujourd’hui.
Mais comme, c’est bien connue, il ne faut pas dire « fontaine, je ne boirai pas de ton eau… », il n’est pas exclu qu’un jour, l’un d’eux me séduise!
Ecriplume
2 réflexions sur “La fleur que je n’aurai sans doute jamais…”
Bonjour Ecriplume,
moi non plus je ne planterai jamais de bégonias dans mon jardin. Je les trouve raides et ennuyeux comme ces massifs dessinés au cordeau sur certains ronds-points. Et pas d’araucaria non plus, qui ressemble trop à un engin de torture. Il y a tant de fleurs et d’arbres qui font rêver… Danielle
Bonjour, Danielle! Je me sens moins seule en lisant votre message! Et je partage to-ta-le-ment votre avis en ce qui concerne les parterres parfaits de certains ronds-points! Vive la douce fantaisie des jardins anglais!