Il aura fallu une semaine, comme d’habitude, pour que j’arrive au bout de la taille printanière de mes rosiers… sachant que je ne m’y consacre évidemment pas à plein temps.
Comme à chaque fois, chacun a eu droit à un examen minutieux et à une coupe personnalisée.
Alors que les jonquilles et autres primevères refleurissent, la roseraie est à nouveau propre et presque pimpante.
Mais l’hiver a eu raison de deux de mes protégés: j’ai perdu deux rosiers signés David Austin: Charles Darwin et Brother Cadfael.
Je m’y attendais: ils étaient déjà souffreteux en arrivant, et n’ont jamais réussi à dépasser ce stade.
Comme j’ai réalisé que tous deux provenaient du même endroit, et que ce c’est pas la première fois que je vis ce genre d’expérience avec cette entreprise, j’ai décidé de ne plus m’adresser à elle pour mes futurs achats de rosiers anglais.
Les deux rosiers plantés en racines nues à la fin de l’automne et provenant, eux, d’un rosiériste réputé qui m’a toujours procuré des plantes en pleine santé, semblent prêts à entamer la saison sans heurts…
Il s’agit du rosier grimpant Paul’s Himalayan Musk et du rosier ancien Impératrice Joséphine, dont j’ai déjà parlé il y a quelques semaines.
Tous deux semblent avoir franchi l’étape de la plantation et commencent à présenter de timides bourgeons.
Pour remplacer les rosiers qui n’ont pas survécu à l’hiver et pour occuper les places préparées par mon mari à la fin de l’automne, j’en ai commandé trois… pour le moment.
A découvrir dans le prochain article!
Ecriplume