Le désespoir des jardiniers…

La sécheresse… j’en ai déjà parlé voici quelques jours, mais elle ne s’est pas arrangée depuis.
Aucune pluie pourtant promise par la météo n’est venue arroser les jardins de la région ces derniers jours.
Jardins qui, tous ou presque arborent des pelouses grillées par le soleil.


Comme tout le monde, nous ne gaspillons pas l’eau et continuons à n’arroser que les rosiers et les camélias ainsi que les plantes les plus fragiles, uniquement avec l’eau provenant de la « piscin de nos canards.
Cela donne des contrastes ahurissants entre le sol brûlé et les dernières roses fleuries.
Autant juillet a été clément dans la région, alternant des périodes de pluie et une chaleur supportable, autant ce mois d’août est destructeur pour nos pauvres jardins…

Ecriplume

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5 réflexions sur “Le désespoir des jardiniers…”

  1. Je reconnais l’état de la pelouse, à peu près identique à la nôtre, mais ces roses ! Quel miracle de fraîcheur et de santé dans ce paysage carbonisé ! Courage : nous avons eu une nuit de pluie imprévue sur la région de Vittel et tout reprend vie instantanément. Danielle

    1. Je suis désolée que vous soyez dans le même cas que nous… votre jardin est si beau. D’ailleurs, si vous me le permettez, je présenterai votre site sur mes deux blogs prochainement: Ecriplume.com et celui-ci. Quant aux roses… leurs efforts pour fleurir encore malgré les conditions climatiques me touchent énormément… Martine

      1. Chère Martine,
        Grâce à vous, j’ai retrouvé le courage de soigner mes rosiers. Et je suis récompensée. La dernière pluie les a ramenées à la vie et le feuillage a repris un peu de vigueur. J’aurai encore besoin de vos conseils pour les identifier… Et je suis bien sûre très heureuse d’être citée. Bien à vous, Danielle

        1. Chère Danielle, formidable!!! Ils vous récompenseront de vos efforts! Si je peux vous aider pour l’identification, je suis à votre service, en fonction de mes modestes connaissances, et tout en sachant que je ne suis pas la plus experte! :o) Bien à vous, Martine

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