Lorsque les rosiers arrivent en fin de floraison, aux premières gelées pour certains, je ne peux me résoudre à vivre sans fleurs en général et sans roses en particulier.
Au cours de mon premier hiver en Franche-Comté, je me suis vue offrir à plusieurs reprises de mini rosiers d’intérieur.
Ils ont fleuri et, le printemps venu, ont été rempotés dans un grand pot en terre cuite.
Plusieurs personnes m’ont dit qu’ils ne survivraient pas.
J’ai essayé malgré tout.
Dès le retour des beaux jours, ils ont été installés à l’extérieur et, petit à petit, se sont acclimatés au point de refleurir au début de l’été.
Une floraison modeste, soit, mais une floraison quand même.
Ils regagneront le confort de la véranda dès que les premiers froids séviront.
Et je caresse l’espoir que, petit à petit, ils prennent de la force…
Ecriplume