Mon regret: Charlotte

Je sais que toute personne possédant un jardin voit parfois mourir l’une ou l’autre de ses plantes.
J’ai ainsi perdu quatre rosiers en un peu plus de deux ans.
J’ai toujours la nostalgie de l’un d’eux Chantal Thomass, que j’aurais tellement voulu voir s’épanouir dans la roseraie.
J’ai fait deux tentatives, toutes deux soldées par un échec qui me pousse à penser qu’il est inutile d’insister.
Mais l’échec qui m’a fait le plus de peine, c’est Charlotte, de David Austin.
J’ai déjà consacré un article à cette disparition, mais j’évolue dans ma réflexion.
C’est la seule fois (pour le moment!) où j’ai rencontré un problème avec un rosier anglais.
Jusqu’alors, je les avais tous fait venir d’Angleterre, et tous ont refleuri sans souci.
Celui-là, je l’avais pris dans le rayon jardinerie d’une grande surface de bricolage.
Etait-il plus fragile, a’a-t-il pas supporté la chaleur?
Je l’ignore.
Toujours est-il qu’il a dépéri et a fini par mourir durant l’été.
Aujourd’hui encore, je le regrette.
Maist je pense que je n’en resterai pas là.
J’ai très envie de faire revenir Charlotte dans la roseraie, en pleine terre ou en pot.

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