Les deux rosiers commandés pour être plantés cet automne sont arrivés comme prévu en ce mois de novembre.
J’avais choisi avec soin ces deux nouveaux venus, très différents l’un de l’autre.
Il s’agit de Paul’s Himalayan Musk et de Joséphine de Beauharnais.
Le premier est un sublime rosier liane légèrement rosé au passé inconnu, mais qui dont la nouvelle vie a débuté en 1916 grâce au célèbre obtenteur anglais William Paul, séduit par sa vigueur et son parfum. Le second, créé en 1865 par Guillot a été dédié à l’épouse de Napoléon à laquelle je voue une certaine tendresse.
Saison oblige, je les ai commandés en racines nues.
Au moment de les planter, mon mari a commis une erreur en intervertissant les emplacements prévus.
Je suis donc allée avec lui constater le problème et, dans un premier temps, j’ai pensé qu’il serait possible de les laisser là où ils sont et, simplement, de prévoir un tuteur parapluie pour le rosier liane.
Sauf que, entretemps, prise d’un doute, je me suis documentée… et j’ai vite compris qu’un simple tuteur ne suffirait pas à ce magnifique rosier qui est fort capable de devenir géant.
Je crois avoir trouvé la solution en lui offrant une pergola sur laquelle il pourrait venir s’accrocher.
Sauf que là… il va falloir que j’en parle à mon Maître d’Oeuvre unique et préféré!
Ecriplume