Si fragile…

Lorsque j’achète mes rosiers en automne, je donne toujours la préférence à ceux vendus en pots.
Mais lorsque je n’ai pas le choix, je les prends en « racines nues ».
J’avoue ne pas être à l’aise avec ce genre de méthode, sans doute parce que j’ai eu une mauvaise expérience avec le rosier Chantal Thomass arrivé deux fois en racines nues… et mort à chaque fois malgré tous les soins apportés.
Bref.
L’un des rosiers achetés cet automne 2019 est à mes yeux très précieux.
Il s’agit d’Old Blush, l’un des plus anciens rosiers au monde, particulièrement florifère.
Je l’avais désiré en pot… mais j’ai dû me rabattre sur les racines nues, comme ça a été le cas pour plusieurs de mes nouveaux arrivés.
Aujourd’hui encore, je suis inquiète pour eux, espérant que tout se passera bien.
Pour les protéger du gel, mon Capitaine a posé une épaisse couche de feuilles (après que la photo ci-dessus ait été prise).
Et moi… plusieurs fois par semaine, je fais le tour de nos plantations pour vérifier que les signes de vie sont bien visibles.
J’espère que dans quelques mois, en regardant cette photo et en la comparant à ce rosier devenu grand, je pourrai constater que l’expérience a réussi…

Ecriplume

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