Les mots d’esprit de Woody Allen me ravissent.
Ce matin, j’ai peu de temps: le travail m’attend, assez imposant aujourd’hui.
Donc, j’ai choisi de vous confier aux bons soins de ce cher Woody.
C’aurait pu être pire, avouez-le!
– J’ai repensé à cette vieille blague: un gars va voir un psychiatre et lui dit: « Mon frère est timbré, docteur, il se prend pour une poule. » Alors le docteur lui dit: « Pourquoi ne le faites-vous pas enfermer? » Et le gars répond: « Je le ferais bien, mais j’ai besoin des oeufs. » C’est plus ou moins ainsi que je vois les relations humaines. Elles sont totalement irrationnelles, folles et absurdes, tu le sais… mais je suppose que nous continuons parce que nous avons presque tous besoin des oeufs… »
Annie Hall, 1977.
– Je ne veux pas devenir immortel grâce à mon oeuvre. Je veux le devenir en ne mourant pas.
– Un jour, quelqu’un m’a demandé si mon rêve était de continuer à vivre dans le coeur des gens. J’ai répondu que j’aimerais plutôt continuer à vivre dans mon appartement. Et c’est vraiment ce que je préfèrerais.
– Et si tout n’était illusion et que rien n’existait? Dans ce cas, j’aurais vraiment payé mon tapis beaucoup trop cher.
– Quand j’ai été kidnappé, mes parents ont réagi tout de suite. Ils ont loué ma chambre.