Ce n’est pas mon habitude, mais là… accrochez vous: je vais chanter les louanges d’un objet qui mérite d’être connu.
Je précise que je n’ai aucun accord publicitaire avec la marque dont je vais parler, mais vu les résultats obtenus, je trouverais dommage de ne pas partager l’expérience.Si les nuits sont censées être reposantes, pour beaucoup d’entre nous, elles peuvent virer au cauchemar pour une raison toute bête: le mal de dos.
Je fais partie de celles et ceux qui sont en conflit avec certaines de leurs cervicales, découragés à l’idée qu’il n’y aura peut-être jamais de solution…
Pour ma part, après avoir essayé plusieurs possibilités, j’ai décidé, voici un mois, d’acquérir un oreiller particulier.
L’oreiller en question est un produit Wopilo, que je ne connaissais pas jusqu’à ce que je fasse quelques recherches.
Il me semblait que ce que je cherchais ne pouvait pas exister: un oreiller à la fois moelleux et ferme, qui ne « maigrisse » pas avec le temps… mais qui ne soit pas non plus trop épais.
J’ai opté pour cet oreiller ergonomique élu « produit de l’année 2020 » après avoir lu tout ce que je pouvais trouver à son sujet.
Lorsque la petite merveille est arrivée, j’ai découvert que je pouvais non seulement remplacer le coeur souple déjà niché dans l’oreiller par un coeur plus ferme, mais que, de plus, il était livré avec de quoi ajuster le garnissage, très moelleux.
Dès la première nuit, j’ai retrouvé un sommeil sans douleur, notion qui m’était devenue inconnue depuis pas mal de temps déjà..
J’ai pensé qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence, n’osant pas trop y croire.
Mais non…
Il m’accompagne depuis une bonne semaine, et la différence est notoire.
Je ne pouvais pas garder cette découverte pour moi!
Je la partage donc aujourd’hui… tandis qu’un deuxième oreiller en tout point identique au premier est en cours de route, cette fois à destination de mon Capitaine!
J’oubliais: l’oreiller est livré avec une période d’essai de 30 nuits avec un retour sans frais en cas d’insatisfaction.
Autant dire qu’il est hors de question que le mien retourne à l’envoyeur!
Martine Péters