Astérix et le Griffon

Un cadeau m’attendait sur la table basse du salon, lundi midi… mon Capitaine y avait placé le dernier album d’Astérix: Astérix et le Griffon.
Le soir même, je me suis plongée dans l’univers de nos Gaulois favoris.
Cap à l’Est  pour un voyage qui va les mener chez un peuple de l’Antiquité, les Sarmates, société régie par des femmes.
Des Amazones, pour être plus précise, dont l’animal sacré est le griffon, mi-aigle mi-lion, un spécimen que César veut capturer pour le cirque de Rome. 
Face aux Romains, les Sarmates font appel à nos héros pour leur prêter main-forte.
Entre les mains de Ferri et Conrad, l’album colle à son époque, avec une foule  de références clins-d’oeil, des situations burlesques… et des personnages rappelant notamment Michel  Houellebecq, Eric Dupond-Moretti et Christophe Castaner.
Les situations sont amusantes, le rôle attribué à Idéfix ajoute un piment inattendu et, avouons-le: j’ai passé un bon moment même si l’histoire manque un peu d’épaisseur.
Pas à pas, les artisans de la relève prennent leurs marques.
Je n’oublie pas que, grâce à eux, Astérix et Obélix continuent leur bonhomme de chemin…

MP
 

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