Quand mon fils et son petit schtroumpf nous rejoignent pour le week-end, il est de tradition, depuis pas mal de temps maintenant, de leur offrir une soirée cinéma maison.
J’ai acheté un nombre invraisemblable de films pour enfants et ados, avec, notamment, les grands classiques comme E.T., L’Histoire Sans FIn, Willow, Nanny McPhee etc…
Le but est d’offrir à Aurélien la possibilité de se construire les fondations de sa culture cinématographique tout en permettant à son papa de revoir des films qu’il a aimés lorsqu’il était enfant.
Depuis trois mois, les règles du jeu ont légèrement été modifiées: le choix du film me revient une fois sur deux et, en alternance, est confié à Aurélien qui pioche parmi ceux proposés sur Netflix.
Ce samedi, c’était « mon tour ».
Et j’avais un trésor dans ma besace: Les Goonies de Spielberg, sorti en 1985.
Ce film d’aventure lançant une bande d’enfants sur les traces d’un trésor pirate tout en étant poursuivis par une famille de bandits redoutables, est entré au panthéon du cinéma, rangé dans la catégorie « films cultes », truffé de coquilles, mais représentatif de son époque.
Aurélien, qui est entré dans la période de pré-adolescence où sévit la phrase tant redoutée des parents « j’ai pas envie… » n’était au départ que très modérément intéressé par la chose.
Puis la magie a opéré, et il a été pris par l’histoire… comme chacun de nous, Capitaine y compris!
Spielberg est le compagnon souvent invité de ces soirées…
