Aujourd’hui est le jour de la Fête des Mères, en Suisse… comme en Belgique, je crois.
Mon rôle de mère… l’un de ceux que je préfère…
L’un de mes fils sera là ce matin, puis je filerai pour un article.
Oui, je sais: un dimanche.
Mais il est des « sujets » pqui erdent leur connotation « travail », au profit du bonheur que l’on va en retirer.
C’est le cas ici.
La personne que je vais rencontrer, je la connais déjà.
C’est par mon travail que nous avons été mises en relation, et je garde de ce moment un souvenir lumineux, très drôle et sensible.
Par la suite, nous avons gardé contact et, avec cette jeune femme intelligente et fine, je suis allée de surprise en surprise, de découverte en découverte.
C’est donc avec un plaisir réel que nous allons prendre la route tout à l’heure pour aller la retrouver.
Elle lit Ecriplume et m’a dit avoir envie de rencontrer « en vrai » mon Capitaine et Pomme.
Encore une fois, je me dis que mon travail m’a réservé des cadeaux magnifiques, au cours de ces années.
Des rencontres inoubliables.
Et, plus rarement, des amitiés aussi belles que celles que je partage avec la Dame de Chiboz et, ici, celle des Pralies
Martine Bernier
