« Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses. »
Confucius
Depuis l’Antiquité, les femmes utilisent l’eau de rose obtenue par distillation de pétales de la fleur pour leurs soins quotidiens.
De nos jours, non seulement cette pratique a perduré, mais elle s’est considérablement développée alors que, de générations en générations, les mères transmettent à leurs filles les bienfaits de l’hydrolat de rose…
Pour ma part, j’en ai toujours un flacon dans la salle de bain, sans forcément être fidèle à une marque précise, ma seule exigence étant qu’elle soit la plus naturelle possible.
Il en existe des dizaines de sortes: chacun se fera son opinion sur les qualités et les inconvénients de chacune d’elles.
On attribue à l’eau de rose une liste de qualités longue comme le bras.
Une simple recherche sur internet vous indiquera à quel point elle est « souveraine » pour limiter les rides, les cernes, l’acné, etc.
Je ne suis pas certaine qu’elle soit en mesure de tenir toutes les promesses faites par les commerçants en son nom…
J’aime l’eau de rose depuis toujours, elle est parfaite pour ma peau sensible, et ce que j’en attends n’a rien de miraculeux.
Appliquée sur le visage le matin ou le soir à l’aide d’un coton, elle donne bonne mine et tonifie le teint.
Je la trouve apaisante, pratique à utiliser notamment comme démaquillant doux.
Pas question en revanche dans mettre une ou plusieurs gouttes dans les yeux pour les apaiser en cas d’irritation: si votre eau de rose n’est pas parfaitement pure et exempte de rajout de parfum ou d’alcool, vous risquez de très mauvaises surprises…
Une autre de ses vertus qui m’est très précieuse est son parfum.
Un parfum léger mais très proche de celui de la fleur.
Ou plutôt de certaines d’entre elles car toutes les roses ne sentent pas la même chose.
Ce parfum est très apaisant…
Sachant que l’eau de rose est également utilisée en cuisine, principalement dans la compositions de plats et de pâtisseries orientaux je ne pouvais que me demander s’il me serait possible d’en fabriquer moi-même avec les pétales de mes roses anglaises.
Là encore, les différents posts consacrés au sujet sur internet nous explique les différentes façons de procéder… mais je ne m’y suis pas encore aventurée.
Ecriplume